Quand l’aube quitte son lit,
Des regards pressés s’éveillent,
La rue se farde lentement
Arborant son sourire moite de la veille.
A l’heure des parias,
Les murs se font lecture,
Catalyseur des oisifs
Les mots se font volatiles.
Quand l’aube quitte son lit,
Des regards pressés s’éveillent,
La rue se farde lentement
Arborant son sourire moite de la veille.
A l’heure des parias,
Les murs se font lecture,
Catalyseur des oisifs
Les mots se font volatiles.